Watch Dogs, Ubisoft et le syndrome du backlog

Encore du plaisir sur Death Stranding

Samedi matin, j'ai encore beaucoup joué, car c'est une activité facile à poursuivre. Je continue toujours Death Stranding, à plus de 50 heures de jeu. Je ne pense pas trop à m'attarder, mais je suis loin d'arriver à la fin. Je prends quand même un certain plaisir, même si j'ai déjà fait ce jeu il y a quelques années.

Un petit craquage Steam sur ma Steam Deck

J'ai une autre habitude, lorsque je consulte ma Steam Deck : je vérifie si des jeux sur ma wishlist sont en promotion. Aujourd'hui, j'ai craqué pour Watch Dogs, premier du nom, sorti il y a plus de 10 ans — en 2014, si je ne me trompe.

J'ai tellement aimé ce jeu à l'époque que j'ai acheté les suites (Watch Dogs 2 et 3) plein pot, mais je n'ai pas vraiment poursuivi ces aventures. J'ai donc dépensé le prix de deux jeux sans restaurant, tellement j'ai aimé ce premier volet.

Backlog Syndrome et DLC

J’ai peu de chances de rejouer à ce jeu tout de suite. Ce achat tombe sous ce qu'on appelle le Backlog Syndrome, ces jeux qu'on achète en promo sur Steam avec l'intention d'y jouer un jour, mais sans vraiment le faire.

Cela dit, pour Watch Dogs, ce n'est pas vraiment le cas, puisque j'ai déjà fini la campagne solo. Cette fois, j'ai pris la version complète avec quelques DLC inclus. Je vais sûrement y toucher à un moment ou un autre, et je vous tiendrai au courant le cas échéant.

Tristesse face à Ubisoft

J'en profite pour faire part d'une certaine tristesse. Ce studio français, Ubisoft, semble prendre une voie funeste, tant leur avenir économique paraît incertain. L’action de l’éditeur français fond comme neige au soleil.

C’est bien dommage qu’ils aient adopté tous les travers des grands studios. Il semble devenu impossible de laisser une part de créativité aux personnes compétentes. De leur ligne de production sortent des jeux sans âme, à l’image de Watch Dogs 2 et 3, qui remplissent peut-être le cahier des charges d’une grande corporation pour rentabiliser les investissements sans prendre de risque. Mais ces jeux manquent cruellement d’éclat, de rugosité, malheureusement.

Quelques souvenirs positifs

On va se réconforter en rejouant à certains jeux qui nous ont marqués, comme Watch Dogs 1 ou Far Cry Primal, que j’ai pas mal apprécié, même si je n’ai pas fini le jeu. Ou encore ce jeu de plateforme dont le nom m’échappe, auquel j’ai quand même joué un petit peu en famille.

Et vous, quel jeu Ubisoft avez-vous apprécié ? L’évolution de cet éditeur français basé à Montreuil, ville qui me tient à cœur, vous rend-elle, comme moi, un peu triste ?