J’ai généralement du mal à regarder un film primé dans un festival aussi sérieux que celui de Cannes. Un air de famille (2018), réalisé par le Japonais, Kore-Eda, est parvenu jusqu'à attirer mon attention par des chemins de traverse.
Il pèse plus que Les Bonnes Étoiles, qui est un des chaînons, pour expliquer le cheminement évoqué ci-dessus.
Quelles expériences de vie façonnent une personnalité et l’amènent à répéter les mêmes mécanismes d’adaptation tout au long de son existence ? Lorsqu'on commence un travail d'introspection sur soi-même pour continuer à avancer sans trop souffrir, on a tendance à partir dans tous les sens, à émettre des hypothèses sur le pourquoi du comment qui vont parfois très loin. C’est important que des professionnels nous accompagnent pour ne pas aller dans des impasses.
Cette piste du trouble de l’attention évoquée par mon professionnel me taraude. Moi, cette personne calme en apparence, c'est bien la dernière étiquette que je me serais affublé.