Des nouvelles des beach [Death Stranding]

J’ai dépassé les 35 heures de jeu et je commence l’épisode 4, que je n’aime pas particulièrement, avec l’acteur nordique Mads Mikkelsen, originaire du Danemark, qui incarne le personnage de Cliff Unger dans les flashbacks.

Les grandes différences par rapport à ma première session il y a quelques années, c’est que je joue de manière assez roots : j’utilise le moins possible les infrastructures, et dès que je vois des installations comme des ponts ou des tours d’observation, je les démantèle pour garder un aspect plus naturel au paysage. Quand j’installe mes propres structures (refuge avec restauration des conteneurs, antenne pour recharger le squelette ou autres éléments à énergie), je le fais avec parcimonie et proches des installations préexistantes. Je n’attaque quasiment jamais les MULEs, et je joue de façon plus réaliste, comme si je devais vraiment survivre dans ce monde.

J’ai failli abandonner à cause d’une certaine redondance du jeu, mais j’ai dépassé ce cap un peu difficile de motivation. Je pense que je vais continuer à parcourir ces contrées islandaises. Je suis attiré par cette œuvre créée par une de mes idoles tout média confondue : Hideo Kojima.

J’ai appris avec regret que Ryan Karazija, leader du groupe Low Roar, un des grands compositeurs américains du jeu, est décédé d’une pneumonie peu après la sortie du premier volet. Il s’était installé en Islande, et ses origines familiales remontent vraisemblablement à l’Europe de l’Est. C’est désormais le musicien français Woodkid qui produira plusieurs chansons dans le second épisode. En tout cas, je redécouvre avec plaisir les morceaux de Low Roar, et je pense en réécouter certains sur Spotify.

Me voilà donc reparti dans ce quatrième épisode, que je cherche à écourter autant que possible — en espérant que la difficulté maximale choisie en début de partie ne complique pas trop mon objectif de passer rapidement à la suite.

L’épisode 3 était plus centré sur Fragile, interprétée — j’ai appris après coup — par l’actrice française Léa Seydoux. Je ne savais même pas qu'elle était ma compatriote . Elle est vraiment belle, avec des traits atypiques qui me font penser aux tribus arctiques — les Inuits, pour être plus juste que le mot "esquimaux" que j’utilisais petit, mais il paraît que ce terme n'est plus d'usage. C’est l’un des personnages que je préfère dans cette galerie d’acteurs plus ou moins connus qui participent à l’histoire. Et bien sûr, la fille d’Andie MacDowell, Margaret Qualley, sublime, comme toujours.


Et toi, quel acteur as-tu préféré dans cet opus ?